La semaine dernière, mes émotions ont gagné sur mes devoirs… Ce qui pourrait sembler contradictoire puisque sept jours plus tôt je disais que l’écriture était une libération, une voie vers l’acceptation et bla-bla-bla! Et bien je ne me contredis pas, chaque chose à un temps et chacun vit ses épreuves (bonnes ou mauvaises) à sa façon.
En fait, je n’ai jamais cessé d’écrire! Seulement, parfois on écrit pour soi. Mon poème par exemple, il avait été écrit bien des jours plus tôt, sur un coup de tête! Et un beau matin, je me suis levé et j’étais prête, je voulais le partager.
Maintenant je crois que je suis prête à partager certaines pensées des derniers jours…
Aujourd’hui (21 février), j’ai été promené mon chien, cette petite bête rempli d’amour qui aime sans condition, qui ne demande rien de plus que ce qu’il donne…
Si ça pourrait être si simple? Si on serait fait d’instinct et d’amour pur? Malheureusement ont vient avec un caractère impossible et surtout intrinsèque, une opinion, du jugement…
Aujourd’hui (22 février), est un nouveau départ. Un nouveau départ parmi tant d’autre! Mais qui pourtant vous semble souvent le premier et le dernier.
Toutes ces fin et surtout tous ces commencements crée une histoire, crée la vie! La vie parsemé d’embuches comme on est habitué à l’entendre, mais aussi d’aventures plus invraisemblables les unes que les autres. Ce matin je vivais la fin, cette après-midi j’écris la première ligne d’un nouveau récit!
Une épreuve dans mon cheminement qui, selon moi, n’aura pas été des plus banales. Oh non, je ne le banalise surtout pas…
(24 février) Je soupire… Je soupire constamment… Dans la vie on soupire parce que quelque chose ne fonctionne pas? Parce qu’on est découragé de quelque chose ou pour expulser l’excès de colère (avant de crisser un point dans quelque chose)? J’aime bien… le « soupir » semble un message universel! comme les larmes par exemple… Sauf qu’il véhicule un message totalement différent.
Je crois que mon équipe d’ingénieur la haut (dans mon cerveau) a subit une pénurie de larme et a dû trouver une solution en moins de deux. Ils n’étaient peut-être pas qualifiés ou peut-être ai-je eu à faire à un débutant… Tout ce qu’ils ont trouvé pour les remplacer, ce sont des soupirs!! Trouver le lien…
Voyez-vous, maintenant, je soupir pour expulser la laideur, le passé… Pour ensuite prendre une grande bouffée (puisque se sont de longs soupirs du genre asphyxiant) de joie ou du moins de nouveau!
On a souvent un faible pour la nouveauté quoi qu’une certaine réticence… mais j’ai confiance en l’aventure de la vie et je ne doute pas, je me sentirai bien une fois que «le changement d’air sera complété», une fois que je serai rempli de nouveauté, de fraicheur.
(S’il se complète bien sûr, puisque certaine chose ne s’expulse pas très bien… comme un foie, un rein ou le cœur … (en souhaitant que vous ayez tous bien compris mon double sens avec l’organe et ce qu’on peut traduire par des sentiments))
Bon voilà, je crois que ça complète bien la semaine. Admirons un jolie coucher de soleil en attente du lever!