Cette semaine, j’ai pensée qu’il serait peut-être bon de sortir de cette zone de douleur où j’ai installé une grande majorité de mes articles. Elle est aussi inconsciemment devenue une certaine zone de confort pour l’écriture. Même si je tente toujours de terminer sur une note positive, cela peut devenir lourd et redondant…
En respectant mon planning, j’aurais dû publier cet article jeudi soir. Cependant, sortir de ma zone de confort inconfortable (ou d’inconfort confortable) à prit plus de temps que prévu.
J’ai pensée écrire sur l’insomnie, un texte qui aurait été plutôt intéressant puisqu’il en concerne plusieurs et surtout une grande porte pour concocter un jolie poème… mais tout me ramenais au même endroit. (De où croyez-vous qu’elle provient cette insomnie? Et oui…) Ces pensées qui hantent vos journées, s’attardent aussi sur vos nuits, l’entièreté de vos nuits…
Bon, j’entrais subtilement dans cette fameuse zone…
Pensons positif, pensons positif…
Ah! Ce fameux «vue» … Il y a précisément un mois, je publiais ma fierté d’avoir traversé le premier mois sans fléchir, je venais de traversé «la première étape» comme je l’ai si bien dis.
Maintenant deux mois de complétés, mais aujourd’hui ces dates sont devenues totalement illusoires puisqu’à un certain moment, on entre dans le réel de relation (mon implication dans ce projet) et puis une petite routine s’installe.
Je spécifiais aussi que j’avais atteint un gros quota de trois visites et cela ne m’affectait pas le moindre du monde puisque je m’attendais à un immense périple et des heures acharnées de travail avant de sentir une quelconque récompense psychologique… Aussi, ça peut sembler stupide, mais ça prend une certaine préparation pour accepter d’être lu par des inconnus et encore plus par ceux qui t’entoure. D’en quelque sorte laisser son journal intime ouvert au beau milieu d’une salle bondée…
Et bien, en termes de pages visité, je peux maintenant multiplier ce chiffre par 100 et j’ai eu plus de 100 réels visiteurs… Non, figuré vous que je n’ai pas 150 ami(e)s et membre de ma famille! Du moins pas à ce que je sache… et ce blog, je ne suis toujours pas prête à le lancer sur les réseaux sociaux… Alors au final prêt d’une centaine d’inconnus mon lu! Ce qui, pensez-si bien, est drôlement moins stressant que ses «ami(e)s» Facebook, jeune masse rapace prêt juger tout ce qui bouge…
Oui, c’est plutôt encourageant et surtout motivant! En plus, je pense bien me découvrir tranquillement une deuxième affection, un nouvel appétit presque aussi fort que celui de la photographie … C’est sincèrement devenu un réel plaisir d’écrire!
Alors, je crois que je vais en profiter pour remercier une seconde fois les géniteurs de cette nouvelle ardeur! Et pourquoi pas, le créateur de cette nouvelle zone de confort…
Ce confort inconfortable qui m’as permis de déployer cette force redoutable, ce plaisir d’écrire. Une chose qui débarque soudainement, mais qui ne veut plus partir… (comme une vilaine maladie, seulement lui gratifie la vie)
Alors je te souris et te dis merci! À toi et à la vie! Que tu sois lecteur ou procréateur, tu rends grandissant ce bonheur…